La Nouvelle-Zélande a choisi la manière radicale afin de lutter contre le tabagisme. Elle compte aussi réduire la quantité de nicotine dans les produits disponibles à la vente. Les dispositions mis en place ne s’arrêtent pas là. 600 commerçants seulement seront autorisés à vendre les produits du tabac à la place de 6000 actuellement.
La ministre Ayesha Verrall a pour objectif de permettre à des milliers de personnes de vivre plus longtemps et en meilleure santé, explique -t-elle dans des propos relayés par BFMTV. En outre, le système de santé bénéficiera de 5 milliards de dollars néo-zélandais (3 milliards d’euros) car il n’aura pas à traiter les maladies provoquées par le tabagisme : de nombreux types de cancers, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des amputations.
Notons que le pays a un taux de fumeurs de 8% seulement, ce qui est déjà relativement faible. Selon le texte adopté par le Parlement, « Environnement sans tabac », elle vise à réduire ce taux à moins de 5% d’ici 2025. en comparaison, En 2014, à La Réunion, 31,9% des personnes âgées de 18-75 ans déclaraient fumer quotidiennement ou occasionnellement, 38,5 % des hommes et 25,7 % des femmes. (Source : Enquête nationale périnatale 2016 Inserm)
La ministre Ayesha Verrall a pour objectif de permettre à des milliers de personnes de vivre plus longtemps et en meilleure santé, explique -t-elle dans des propos relayés par BFMTV. En outre, le système de santé bénéficiera de 5 milliards de dollars néo-zélandais (3 milliards d’euros) car il n’aura pas à traiter les maladies provoquées par le tabagisme : de nombreux types de cancers, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des amputations.
Notons que le pays a un taux de fumeurs de 8% seulement, ce qui est déjà relativement faible. Selon le texte adopté par le Parlement, « Environnement sans tabac », elle vise à réduire ce taux à moins de 5% d’ici 2025. en comparaison, En 2014, à La Réunion, 31,9% des personnes âgées de 18-75 ans déclaraient fumer quotidiennement ou occasionnellement, 38,5 % des hommes et 25,7 % des femmes. (Source : Enquête nationale périnatale 2016 Inserm)