Des résultats alarmants
Les résultats du "test navette de Luc Léger", qui mesure la vitesse maximale et la consommation maximale d'oxygène, ont été particulièrement inquiétants. Les élèves couraient à une vitesse maximale moyenne de 10,2 km/h, en baisse de 1 km/h pour les garçons et 0,6 km/h pour les filles par rapport à 1987. Selon le professeur Carré, "au minimum la capacité physique devrait rester stable" et "un sujet de 65 ans qui est actif, sans être sportif, ferait mieux que les jeunes". Une information Le Parisien.
Des enfants en surpoids ayant tous un risque d'accident cardiovasculaire avant 40 ans
Des statistiques alarmantes, telles que les enfants en surpoids ayant tous un risque d'accident cardiovasculaire avant 40 ans, ou le fait que les collégiens soient diabétiques avec une pression artérielle et un taux de cholestérol plus élevés qu'en 1987, ont été soulevées. Heureusement, l'étude offre également de l'espoir en montrant que des améliorations peuvent être rapidement apportées.
Lors d'une seconde phase de l'expérimentation, un groupe d'enfants a suivi un entraînement fractionné individualisé de 15 minutes deux fois par semaine pendant six semaines, tandis que le second groupe a continué ses cours d'éducation physique obligatoires. Les résultats ont montré une augmentation de 5% de la capacité physique pour le premier groupe et seulement 2% pour le second.
Le professeur Carré a déclaré que "globalement, quand on suit l'entraînement spécifique qui est proposé (2 x 15 minutes par semaine pendant 6 semaines), on a une augmentation de 235% de la capacité physique". Le dispositif "30 minutes d'activité physique par jour à l'école" pourrait donc être la clé d'une "inversion de la courbe relative au capital santé des jeunes, qui se dégrade depuis 50 ans". Il est donc urgent d'agir pour améliorer la santé physique des adolescents avant qu'il ne soit trop tard.
Des enfants en surpoids ayant tous un risque d'accident cardiovasculaire avant 40 ans
Des statistiques alarmantes, telles que les enfants en surpoids ayant tous un risque d'accident cardiovasculaire avant 40 ans, ou le fait que les collégiens soient diabétiques avec une pression artérielle et un taux de cholestérol plus élevés qu'en 1987, ont été soulevées. Heureusement, l'étude offre également de l'espoir en montrant que des améliorations peuvent être rapidement apportées.
Lors d'une seconde phase de l'expérimentation, un groupe d'enfants a suivi un entraînement fractionné individualisé de 15 minutes deux fois par semaine pendant six semaines, tandis que le second groupe a continué ses cours d'éducation physique obligatoires. Les résultats ont montré une augmentation de 5% de la capacité physique pour le premier groupe et seulement 2% pour le second.
Le professeur Carré a déclaré que "globalement, quand on suit l'entraînement spécifique qui est proposé (2 x 15 minutes par semaine pendant 6 semaines), on a une augmentation de 235% de la capacité physique". Le dispositif "30 minutes d'activité physique par jour à l'école" pourrait donc être la clé d'une "inversion de la courbe relative au capital santé des jeunes, qui se dégrade depuis 50 ans". Il est donc urgent d'agir pour améliorer la santé physique des adolescents avant qu'il ne soit trop tard.
