Interpellé lundi 5 mai à son domicile de Bougival, dans les Yvelines, l’ancien animateur de M6 a été interrogé par les services de police de Seine-Saint-Denis. Lors de la perquisition, des éléments suspects, notamment une somme d’argent liquide et des résidus évoquant une consommation de cocaïne, auraient été découverts, selon des informations recueillies par BFMTV.
S’il ne fait l’objet d’aucune mise en examen, Stéphane Plaza a toutefois accepté de régler une amende appelée "contribution citoyenne", d’un montant de 3.000 euros, comme le révèle RMC. Cette alternative aux poursuites nécessite que la personne concernée reconnaisse les faits reprochés, tout en disposant d’un casier judiciaire vierge. La somme sera reversée à des associations œuvrant auprès des victimes.
L’avocat de l’animateur a confirmé la fin de la garde à vue, tout en précisant à BFMTV qu’aucune suite judiciaire n’était envisagée. Il s’est abstenu de tout commentaire sur l’amende, qui implique pourtant une reconnaissance implicite de culpabilité selon la procédure.
Ce nouvel épisode intervient alors que Stéphane Plaza traverse une période particulièrement compliquée. En février dernier, il avait été condamné à 12 mois de prison avec sursis pour violences conjugales, une décision à laquelle il a fait appel. Lors de ce procès, il avait nié toute consommation de drogue, affirmant n’avoir "jamais, jamais" touché à de telles substances.
S’il ne fait l’objet d’aucune mise en examen, Stéphane Plaza a toutefois accepté de régler une amende appelée "contribution citoyenne", d’un montant de 3.000 euros, comme le révèle RMC. Cette alternative aux poursuites nécessite que la personne concernée reconnaisse les faits reprochés, tout en disposant d’un casier judiciaire vierge. La somme sera reversée à des associations œuvrant auprès des victimes.
L’avocat de l’animateur a confirmé la fin de la garde à vue, tout en précisant à BFMTV qu’aucune suite judiciaire n’était envisagée. Il s’est abstenu de tout commentaire sur l’amende, qui implique pourtant une reconnaissance implicite de culpabilité selon la procédure.
Ce nouvel épisode intervient alors que Stéphane Plaza traverse une période particulièrement compliquée. En février dernier, il avait été condamné à 12 mois de prison avec sursis pour violences conjugales, une décision à laquelle il a fait appel. Lors de ce procès, il avait nié toute consommation de drogue, affirmant n’avoir "jamais, jamais" touché à de telles substances.