Pour peu qu’on s’intéresse aux people, et quand bien même on ne s’y intéresserait que de très loin, le cas Gaga ne peut laisser indifférent. On a connu Madonna et bien d’autres, provocatrices et exhibitionnistes à outrance, mais Lady Gaga bouscule toutes les convenances. A l’heure d’internet et des nouvelles technologies, impossible d’échapper au phénomène, surtout avec le nom qu’elle porte. Pour l’anecdote, l'origine de son nom est une référence à la chanson Radio Gaga de Queen.
Fallait oser, elle a osé. Faut oser se promener dans la rue avec des accoutrements extravagants, elle ose. Faut oser dire ce qu’elle dit, elle ose. Et en plus elle se permet d’être jolie, sexy, et de chanter divinement bien, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Lady Gaga (de ses vrais prénoms -jolis- et nom Stefani Joanne Angelina Germanotta) est une chanteuse et auteur-compositeur-interprète américaine d'origine italienne. A 24 ans, elle est une star planétaire, et son excentricité lui vaut aujourd’hui d’être traitée comme sujet de sociologie à l’Université de Caroline à partir de 2011! Ils sont fous ces Américains non?
«Le cas de la notoriété de Lady Gaga est sociologiquement pertinent comme objet d’étude en ce qui concerne la culture populaire et les conditions actuelles de la célébrité» a expliqué très sérieusement le professeur Mathieu Deflem, en charge des futurs cours. Faux prétextes? Non, j’abonde dans le sens du professeur de sociologie et considère comme lui qu’elle mérite d’être disséquée dans le bon sens du terme. Quand on sait, en plus, qu’elle composait des essais sur des sujets comme l'art, la religion ou l'ordre socio-politique lorsqu’elle était à l’Université, l’étude du phénomène est d’autant plus nécessaire. Lady Gaga est une femme intelligente, elle a tout simplement réussi à jouer à l’idiote extravagante pour mieux réussir sa passion. Forte, très forte, faut applaudir des deux mains.
En 2010, le site Billboard a classé Lady Gaga comme la 73ème artiste la plus importante de la décennie 2000-2010, c’est dire à quel point elle a réussi son coup. Le professeur Deflem a raison, l’ascension fulgurante de Lady Gaga est unique au monde, et ce n’est pas fini. «La culture pop est un art» clame Gaga. Et Lady Gaga est une artiste...
Fallait oser, elle a osé. Faut oser se promener dans la rue avec des accoutrements extravagants, elle ose. Faut oser dire ce qu’elle dit, elle ose. Et en plus elle se permet d’être jolie, sexy, et de chanter divinement bien, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Lady Gaga (de ses vrais prénoms -jolis- et nom Stefani Joanne Angelina Germanotta) est une chanteuse et auteur-compositeur-interprète américaine d'origine italienne. A 24 ans, elle est une star planétaire, et son excentricité lui vaut aujourd’hui d’être traitée comme sujet de sociologie à l’Université de Caroline à partir de 2011! Ils sont fous ces Américains non?
«Le cas de la notoriété de Lady Gaga est sociologiquement pertinent comme objet d’étude en ce qui concerne la culture populaire et les conditions actuelles de la célébrité» a expliqué très sérieusement le professeur Mathieu Deflem, en charge des futurs cours. Faux prétextes? Non, j’abonde dans le sens du professeur de sociologie et considère comme lui qu’elle mérite d’être disséquée dans le bon sens du terme. Quand on sait, en plus, qu’elle composait des essais sur des sujets comme l'art, la religion ou l'ordre socio-politique lorsqu’elle était à l’Université, l’étude du phénomène est d’autant plus nécessaire. Lady Gaga est une femme intelligente, elle a tout simplement réussi à jouer à l’idiote extravagante pour mieux réussir sa passion. Forte, très forte, faut applaudir des deux mains.
En 2010, le site Billboard a classé Lady Gaga comme la 73ème artiste la plus importante de la décennie 2000-2010, c’est dire à quel point elle a réussi son coup. Le professeur Deflem a raison, l’ascension fulgurante de Lady Gaga est unique au monde, et ce n’est pas fini. «La culture pop est un art» clame Gaga. Et Lady Gaga est une artiste...
