Des baisses de prix significatives et une stabilisation de l'inflation à environ 2%
La hausse des prix va-t-elle enfin cesser? C'est ce que semble penser Michel-Edouard Leclerc. Selon lui, en raison de la diminution de la part de marché des grandes marques dans les achats des Français cette année, les industriels cherchent à regagner la confiance des consommateurs en écouler davantage de leurs produits. Michel-Edouard Leclerc exprime sa confiance, notant que la part de marché d'E.Leclerc a atteint des niveaux records récemment, représentant 25% des dépenses des Français en grandes surfaces, une première dans l'histoire du commerce alimentaire.
Des négociations commerciales tendues en février-mars
Lors de son passage sur BFMTV/RMC, Michel-Edouard Leclerc a déclaré que la logique d'augmentation des prix de la part des industriels n'était plus justifiée. Selon lui, il est inutile pour les producteurs et les distributeurs de prétendre vendre plus cher, car cela pourrait compromettre les ventes. Il anticipe des négociations commerciales tendues en février-mars, avec des baisses de prix significatives et une stabilisation de l'inflation à environ 2% pour l'année 2024.
Malgré une récente baisse, l'inflation annuelle en grande distribution reste élevée à 7,2% en décembre. Michel-Edouard Leclerc prévoit que les négociations commerciales en janvier contribueront à accélérer la désinflation, même si de nombreux industriels réclament toujours des hausses de prix.
Coca-Cola demande 20% d'augmentation
Le distributeur souligne que certains industriels demandent des augmentations allant jusqu'à 20%, citant l'exemple de Coca-Cola. Cependant, Leclerc affirme que quelle que soit la demande des industriels, ses acheteurs n'accepteront pas ces prix, et il est convaincu que les prix vont finalement baisser.
Des négociations commerciales tendues en février-mars
Lors de son passage sur BFMTV/RMC, Michel-Edouard Leclerc a déclaré que la logique d'augmentation des prix de la part des industriels n'était plus justifiée. Selon lui, il est inutile pour les producteurs et les distributeurs de prétendre vendre plus cher, car cela pourrait compromettre les ventes. Il anticipe des négociations commerciales tendues en février-mars, avec des baisses de prix significatives et une stabilisation de l'inflation à environ 2% pour l'année 2024.
Malgré une récente baisse, l'inflation annuelle en grande distribution reste élevée à 7,2% en décembre. Michel-Edouard Leclerc prévoit que les négociations commerciales en janvier contribueront à accélérer la désinflation, même si de nombreux industriels réclament toujours des hausses de prix.
Coca-Cola demande 20% d'augmentation
Le distributeur souligne que certains industriels demandent des augmentations allant jusqu'à 20%, citant l'exemple de Coca-Cola. Cependant, Leclerc affirme que quelle que soit la demande des industriels, ses acheteurs n'accepteront pas ces prix, et il est convaincu que les prix vont finalement baisser.
