Le moins que l’on puisse dire, c’est que Nicolas Sarkozy traverse une très mauvaise passe depuis quelques semaines, et les choses ne s’arrangent guère de semaine en semaine.
Entre cette réforme des retraites qui a du mal à convaincre, cette affaire Bettencourt/Woerth qui n’en finit pas de défrayer la chronique avec son lot perpétuel de rebondissements, cette polémique incisive concernant les expulsions des Roms, cette drôle d’affaire d’espionnage du quotidien «Le Monde», et en attendant le prochain scandale, rien ne va plus du côté de l’Elysée et du gouvernement.
Problème de communication sur la réforme des retraites, entêtement à vouloir garder Eric Woerth à son poste, médiatisation outrancière des fermetures des camps des Roms avec expulsions à suivre, maladresse évidente pour connaître d’où viennent les fuites d’informations en faveur de la presse, nos responsables gouvernementaux sont manifestement dans une phase délicate.
La réforme des retraites, assurément nécessaire, ne passe pas, car mal expliquée et imposée. Quand bien même l’Elysée et Matignon le défendent, devant tant d’éléments incohérents et litigieux le concernant, Eric Woerth aurait déjà dû démissionner, pour justement ne gêner ni l’action de la justice, ni celle du gouvernement.
Tout le monde s’est ému de la façon dont les Roms, «des êtres humains», ont été et sont traités, il est vraiment dommage de donner une telle image de la France. Après les Roms, quelle ethnie sera prochainement dans le collimateur? Quant à l’enquête confirmée de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur sur l’identification de l’informateur du journal «Le Monde», même si on sait que la pratique est courante, cette fois, elle tombe mal pour une affaire hyper médiatisée.
Le président de la République n’a jamais été autant décrié, et la presse nationale s’en donne à coeur joie. Peut-il reprendre la main? Oui, à condition de reconnaître ses erreurs, de ne pas tomber dans des excès pernicieux, et de prendre les bonnes décisions. Il est temps de revenir à l’essentiel, améliorer la vie quotidienne des Français.
Entre cette réforme des retraites qui a du mal à convaincre, cette affaire Bettencourt/Woerth qui n’en finit pas de défrayer la chronique avec son lot perpétuel de rebondissements, cette polémique incisive concernant les expulsions des Roms, cette drôle d’affaire d’espionnage du quotidien «Le Monde», et en attendant le prochain scandale, rien ne va plus du côté de l’Elysée et du gouvernement.
Problème de communication sur la réforme des retraites, entêtement à vouloir garder Eric Woerth à son poste, médiatisation outrancière des fermetures des camps des Roms avec expulsions à suivre, maladresse évidente pour connaître d’où viennent les fuites d’informations en faveur de la presse, nos responsables gouvernementaux sont manifestement dans une phase délicate.
La réforme des retraites, assurément nécessaire, ne passe pas, car mal expliquée et imposée. Quand bien même l’Elysée et Matignon le défendent, devant tant d’éléments incohérents et litigieux le concernant, Eric Woerth aurait déjà dû démissionner, pour justement ne gêner ni l’action de la justice, ni celle du gouvernement.
Tout le monde s’est ému de la façon dont les Roms, «des êtres humains», ont été et sont traités, il est vraiment dommage de donner une telle image de la France. Après les Roms, quelle ethnie sera prochainement dans le collimateur? Quant à l’enquête confirmée de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur sur l’identification de l’informateur du journal «Le Monde», même si on sait que la pratique est courante, cette fois, elle tombe mal pour une affaire hyper médiatisée.
Le président de la République n’a jamais été autant décrié, et la presse nationale s’en donne à coeur joie. Peut-il reprendre la main? Oui, à condition de reconnaître ses erreurs, de ne pas tomber dans des excès pernicieux, et de prendre les bonnes décisions. Il est temps de revenir à l’essentiel, améliorer la vie quotidienne des Français.
