Arrivé de la Préfecture du Loiret où il occupait le même poste, Maurice Barate s’est ravi de sa nomination à La Réunion: «D’un point de vue professionnel et côté personnel, un poste dans une région comme cette île ne peut être qu’enrichissant» dit-il. Adepte de la marche, de pêche, et de la photographie, le secrétaire général aura de quoi satisfaire ses passions.
Marseillais d’origine, Maurice Barate, propriétaire d’une maison en Ariège, avoue être à son onzième déménagement. Après une longue carrière dans l’administration pénitentiaire, il a intégré le corps préfectoral en 2007 où il était directeur de cabinet du Préfet du Finistère. «Mon épouse est avec moi à La Réunion, en revanche mes deux grandes filles sont restées en métropole».
Maurice Barate a annoncé son souhait d’être sur le terrain et d’avoir une relation de proximité avec les élus, politiques et consulaires, et les usagers: «Nous devons être en phase avec les attentes du public, le but étant d’améliorer les services» dit-il.
A Orléans où il se trouvait en poste, quelques Réunionnais qui y travaillaient lui ont parlé de La Réunion qu’il va désormais découvrir en long et en large. Maurice Barate a aussi quelques connaissances préfectorales dans l’île puisque dans sa carrière il a eu l’occasion de croiser Loïc Armand, sous-préfet de Saint-Pierre, Hélène Rouland Boyer, sous-préfète de Saint-Benoît, et Julie Bouaziz, directrice de cabinet du Préfet Dominique Sorain.
A.P.
Photos Patrick Imanazte
Marseillais d’origine, Maurice Barate, propriétaire d’une maison en Ariège, avoue être à son onzième déménagement. Après une longue carrière dans l’administration pénitentiaire, il a intégré le corps préfectoral en 2007 où il était directeur de cabinet du Préfet du Finistère. «Mon épouse est avec moi à La Réunion, en revanche mes deux grandes filles sont restées en métropole».
Maurice Barate a annoncé son souhait d’être sur le terrain et d’avoir une relation de proximité avec les élus, politiques et consulaires, et les usagers: «Nous devons être en phase avec les attentes du public, le but étant d’améliorer les services» dit-il.
A Orléans où il se trouvait en poste, quelques Réunionnais qui y travaillaient lui ont parlé de La Réunion qu’il va désormais découvrir en long et en large. Maurice Barate a aussi quelques connaissances préfectorales dans l’île puisque dans sa carrière il a eu l’occasion de croiser Loïc Armand, sous-préfet de Saint-Pierre, Hélène Rouland Boyer, sous-préfète de Saint-Benoît, et Julie Bouaziz, directrice de cabinet du Préfet Dominique Sorain.
A.P.
Photos Patrick Imanazte