Dans une scénographie à la fois sobre et symbolique, la chanteuse apparaît au centre d’un cercle de sable, pieds nus, vêtue d’une élégante robe noire. Une pluie de sable s’écoule doucement du plafond, créant une atmosphère suspendue. Ce choix visuel fort n’est pas anodin : il évoque la fuite du temps, à l’image d’un sablier. À la fin de sa performance, Louane balaie le sol, révélant un miroir en son centre — un geste chargé de sens, imaginé avec soin par son équipe artistique.
Fabien Randanne, journaliste spécialiste du concours, a salué cette mise en scène qu’il juge à la fois esthétique et porteuse de sens. Il y voit une métaphore du temps qui file, mais aussi un geste intime, presque spirituel.
Interviewée après cette répétition, Louane confie son enthousiasme malgré quelques ajustements encore nécessaires : « C’est incroyable de voir le rendu. On sent que tout prend vie, même si je dois encore peaufiner des choses. »
Alexandra Redde-Amiel, responsable de la délégation française, s’est dite très émue : « C’est une performance exigeante, très technique, mais tout fonctionne. On est touchés, car ce que nous avons imaginé prend réellement forme. C’était un pari audacieux. »
Le titre qu’elle interprètera, intitulé « maman », puise dans son vécu personnel. Elle y aborde avec tendresse et émotion le lien mère-fille, rendant hommage à sa propre mère tout en évoquant son expérience en tant que maman. Un moment d’autant plus intime que la voix de sa fille, Esmée, âgée de cinq ans, se fait entendre à la fin du morceau.
Le concours, organisé cette année à Bâle à la suite de la victoire du Suisse Nemo en 2024, tiendra ses demi-finales les 13 et 15 mai, avant la grande finale le 17.
Fabien Randanne, journaliste spécialiste du concours, a salué cette mise en scène qu’il juge à la fois esthétique et porteuse de sens. Il y voit une métaphore du temps qui file, mais aussi un geste intime, presque spirituel.
Interviewée après cette répétition, Louane confie son enthousiasme malgré quelques ajustements encore nécessaires : « C’est incroyable de voir le rendu. On sent que tout prend vie, même si je dois encore peaufiner des choses. »
Alexandra Redde-Amiel, responsable de la délégation française, s’est dite très émue : « C’est une performance exigeante, très technique, mais tout fonctionne. On est touchés, car ce que nous avons imaginé prend réellement forme. C’était un pari audacieux. »
Le titre qu’elle interprètera, intitulé « maman », puise dans son vécu personnel. Elle y aborde avec tendresse et émotion le lien mère-fille, rendant hommage à sa propre mère tout en évoquant son expérience en tant que maman. Un moment d’autant plus intime que la voix de sa fille, Esmée, âgée de cinq ans, se fait entendre à la fin du morceau.
Le concours, organisé cette année à Bâle à la suite de la victoire du Suisse Nemo en 2024, tiendra ses demi-finales les 13 et 15 mai, avant la grande finale le 17.