Selon la légende arthurienne, il était même considéré comme le gardien des ruines du château de Ponthus. Malheureusement, la puissante tempête Ciaran a eu raison de cette vénérable créature de la nature, comme le rapporte le Huffpost. Les violentes rafales de vent, atteignant par endroits des vitesses de 112 km/h dans le département, ont finalement déraciné ce symbole vivant de la forêt de Brocéliande.
Le hêtre de Ponthus ne se contentait pas d'être un élément du paysage, il était aussi un lieu de rassemblement pour les amateurs de contes, légendes, et même de rites druidiques. Des habitants des environs, interrogés par Ouest-France, ont exprimé leur tristesse face à la perte de cet arbre légendaire.
Philippe Manguin, un photographe de la région, a partagé son émotion concernant cette perte, le décrivant comme le "vieux Sage de la forêt". Sur sa page Facebook, il lui a également rendu hommage.
Bien que la tempête Ciaran ait été le facteur déclenchant de la chute de l'arbre, il convient de noter que ce dernier était déjà fragilisé depuis un certain temps. Guy de Courville, cogérant du groupement forestier, a expliqué à Ouest-France que l'arbre avait subi d'importants dégâts et avait été protégé autant que possible, mais qu'il avait atteint la fin de sa vie naturelle.
Le hêtre de Ponthus ne se contentait pas d'être un élément du paysage, il était aussi un lieu de rassemblement pour les amateurs de contes, légendes, et même de rites druidiques. Des habitants des environs, interrogés par Ouest-France, ont exprimé leur tristesse face à la perte de cet arbre légendaire.
Philippe Manguin, un photographe de la région, a partagé son émotion concernant cette perte, le décrivant comme le "vieux Sage de la forêt". Sur sa page Facebook, il lui a également rendu hommage.
Bien que la tempête Ciaran ait été le facteur déclenchant de la chute de l'arbre, il convient de noter que ce dernier était déjà fragilisé depuis un certain temps. Guy de Courville, cogérant du groupement forestier, a expliqué à Ouest-France que l'arbre avait subi d'importants dégâts et avait été protégé autant que possible, mais qu'il avait atteint la fin de sa vie naturelle.