
Les scènes tournées sur notre île sont les premières séquences "fiction" de ce film dont l'histoire se déroule fin de XVIIème siècle, début XVIIIème. "C'est une œuvre à valeur patrimoniale. Ça parle d'un pan de notre histoire commune et ça met en scène La Buse, qui est une figure de notre imaginaire créole. On évoque les légendes, le trésor. On balaie largement la question de la piraterie", s'enthousiasme William Cally, pour qui le sujet est "une matière riche et passionnante".
Sortie prévue fin 2018
"Nous avons tourné aux Colimaçons (Saint-Leu), à Petite Ile, ainsi que dans le Sud sauvage, sur le littoral de Saint-Joseph. C'étaient de très grands moments", confie le réalisateur.
Le tournage de l'autre partie a été entamé depuis plusieurs mois en métropole, avec la réalisation d'interviews. Historiens, chercheurs, écrivains et témoins populaires interviendront en effet pour ce docu-fiction qui se veut le plus réaliste possible. D'autres interviews seront encore réalisées dans les prochains mois, cette fois sur notre île.
La livraison de La Buse, l'or maudit des Pirates de l'Océan Indien, sous un format de 2 x 52 minutes destiné à la télévision, est prévue pour la fin de l’année 2018 ou le début de l'année 2019.

