Jusqu'à trois ans de réclusion ferme
Image par Adamsov Production de Pixabay
Les images étaient devenues virales sur les réseaux sociaux, suscitant la colère des internautes. Les trois jeunes, âgés de 19 à 21 ans, ont été accusés d'avoir cherché à empêcher l'activité commerciale de Kura Sushi, une chaîne de restaurants de sushis. Ils ont été confondus via internet et ont reconnu les faits.
Deux des trois membres du groupe ont été arrêtés mercredi dans le département d'Aichi, dans le centre du Japon. Le troisième, âgé de 19 ans, avait été arrêté dès le mois dernier. La police reproche aux jeunes d'avoir cherché à perturber l'activité commerciale de Kura Sushi, qui avait été submergé par les plaintes des clients après la diffusion de la vidéo. La chaîne avait dû procéder à des nettoyages en urgence selon La Presse.
Ces incidents, bien qu'apparemment isolés, ont scandalisé le Japon, connu pour ses normes d'hygiène et de propreté. Les vidéos, qui avaient été publiées sur Twitter et TikTok, montraient des jeunes faisant des blagues de mauvais goût dans différents restaurants de sushi. Ils ont été surnommés "sushi-terro", en référence à la contraction de "terrorisme du sushi". Les faits reprochés aux trois jeunes peuvent entraîner des amendes importantes et une peine de prison pouvant aller jusqu'à trois ans de réclusion ferme.
Kura Sushi, qui avait été la cible des jeunes, s'est réjoui des arrestations : "Nous espérons sincèrement que ces arrestations feront prendre conscience à la société que ces farces, qui portent fondamentalement atteinte à notre système basé sur une relation de confiance avec les clients, constituent un délit, et qu'elles ne seront pas imitées à l'avenir", a déclaré la chaîne dans un communiqué.
Sushiro, une autre chaîne de restauration japonaise similaire, avait également été victime de blagues de même nature, faisant chuter le cours de son groupe en bourse.
Deux des trois membres du groupe ont été arrêtés mercredi dans le département d'Aichi, dans le centre du Japon. Le troisième, âgé de 19 ans, avait été arrêté dès le mois dernier. La police reproche aux jeunes d'avoir cherché à perturber l'activité commerciale de Kura Sushi, qui avait été submergé par les plaintes des clients après la diffusion de la vidéo. La chaîne avait dû procéder à des nettoyages en urgence selon La Presse.
Ces incidents, bien qu'apparemment isolés, ont scandalisé le Japon, connu pour ses normes d'hygiène et de propreté. Les vidéos, qui avaient été publiées sur Twitter et TikTok, montraient des jeunes faisant des blagues de mauvais goût dans différents restaurants de sushi. Ils ont été surnommés "sushi-terro", en référence à la contraction de "terrorisme du sushi". Les faits reprochés aux trois jeunes peuvent entraîner des amendes importantes et une peine de prison pouvant aller jusqu'à trois ans de réclusion ferme.
Kura Sushi, qui avait été la cible des jeunes, s'est réjoui des arrestations : "Nous espérons sincèrement que ces arrestations feront prendre conscience à la société que ces farces, qui portent fondamentalement atteinte à notre système basé sur une relation de confiance avec les clients, constituent un délit, et qu'elles ne seront pas imitées à l'avenir", a déclaré la chaîne dans un communiqué.
Sushiro, une autre chaîne de restauration japonaise similaire, avait également été victime de blagues de même nature, faisant chuter le cours de son groupe en bourse.
@nosjeugdjournaal In Japan vinden veel mensen hygiëne erg belangrijk. Ze zijn dan ook boos op de grappenmakers. #jeugdjournaal #sushi #likken ♬ origineel geluid - NOS Jeugdjournaal
