Avatar : La Voie de l’eau est sorti hier au cinéma Afin de tourner les plans-séquence dont James Cameron rêvait pour son nouveau film, Kate Winslet et d’autres acteurs ont raconté avoir appris à retenir leur souffle en apnée jusqu’à 8 minutes.
Le cinéaste quant à lui, a appris à plonger à 16 ans. Aujourd’hui, grâce à des machines plus performantes, il continue d’aller de plus en plus bas vers les abysses. Notons qu’en 2012, il a atteint la profondeur record de 10 989m à bord de son sous-marin Deepsea Challenger dans la mythique fosse des Mariannes. Il est même devenu explorateur pour le National Geographic pendant huit ans suite à la recherche d’images de la véritable épave du Titanic.
Même si James Cameron a été fasciné par la beauté de la biodiversité marine qui sert de décor à Avatar, il a aussi été témoin de la dégradation des océans en raison du dérèglement climatique et des activités humaines. Il déplore le fait que la civilisation moderne utilise les océans comme des toilettes.
Avatar : la voie de l’eau vise à interpeller les spectateurs. Une scène époustouflante de chasse des tulkuns, sortes d’immenses baleines de 100 mètres de long devrait marquer les esprits. C’est d’ailleurs la triste réalité d’aujourd’hui, ces massacres de baleines et dauphins.
Le cinéaste quant à lui, a appris à plonger à 16 ans. Aujourd’hui, grâce à des machines plus performantes, il continue d’aller de plus en plus bas vers les abysses. Notons qu’en 2012, il a atteint la profondeur record de 10 989m à bord de son sous-marin Deepsea Challenger dans la mythique fosse des Mariannes. Il est même devenu explorateur pour le National Geographic pendant huit ans suite à la recherche d’images de la véritable épave du Titanic.
Même si James Cameron a été fasciné par la beauté de la biodiversité marine qui sert de décor à Avatar, il a aussi été témoin de la dégradation des océans en raison du dérèglement climatique et des activités humaines. Il déplore le fait que la civilisation moderne utilise les océans comme des toilettes.
Avatar : la voie de l’eau vise à interpeller les spectateurs. Une scène époustouflante de chasse des tulkuns, sortes d’immenses baleines de 100 mètres de long devrait marquer les esprits. C’est d’ailleurs la triste réalité d’aujourd’hui, ces massacres de baleines et dauphins.