7 Magazine avait été le seul média réunionnais à être allé le suivre il y a 2 ans sous les couleurs parisiennes. C'était lors d'un fameux PSG-Montpellier!
Si on s'est beaucoup extasié, notamment à Nantes, autour de cette nouvelle, Nicolas Claire gardait son calme. Sans doute, la joie restait intérieure. Lui qui ne s'y attendait pas, ou plus du tout peut-être, à revêtir cette tunique bleue qu'il a tant rêvée.
«Quand je suis allé le chercher au PSG pour qu'il signe à Nantes, j’avais à la fois l’idée qu’il devait s’imposer comme notre meneur de jeu mais qu’il avait aussi la possibilité d’être sélectionné dans le groupe France», explique Thierry Anti, son entraîneur. Il ne s'est pas trompé.
Car cette sélection en Equipe de France est amplement méritée. Tant l'ex joueur de Joinville et de Lasours Handball a été étincelant depuis le début de cette année, rééditant les très belles performances à la chaîne tout cela en l'espace d'un mois: Cesson à deux reprises, Montpellier -ni plus ni moins que le leader du championnat- Nîmes. Tous battus!
Alors, qu'il soit retenu dans ce groupe de 21 n'étonne guère les spécialistes. «Je remercie mes coéquipiers et le staff technique de Nantes, cette sélection je la dois à ce qu'ils m'ont apporté» a-t-il confié, ému. Et Niko de poursuivre: «En Equipe de France, je vais d'ailleurs retrouver mon pote Kévynn Nyokas avec qui j’ai commencé à jouer au haut niveau au sein du PSG».
Pour peu, il en oublierait presque ses anciens coéquipiers parisiens, Luc Abalo, Cédric Sorhaindo, avec qui se sont nouées des relations d'amitié, Samuel Honrubia, Didier Dinart et, bien sûr, le kréol cador des Bleus dit le "King": Daniel Narcisse!
Mais avant l'Equipe de France, le Dionysien a dans le viseur un rendez-vous: celui de la finale de la Coupe de France, programmé le dimanche 26 avril, face au PSG, son ancien club...
Si l'exploit est au rendez-vous, l'arrivée dès le lendemain au rendez-vous des Bleus -où figurent 6 Parisiens-, sera bien plus aisée et presque joyeuse pour lui.
Cela étant, restons les pieds sur terre: battre Paris et ses stars dans leur salle parisienne de Coubertin, ne relève pas d'une sinécure...
Emmanuel Thomas
«Quand je suis allé le chercher au PSG pour qu'il signe à Nantes, j’avais à la fois l’idée qu’il devait s’imposer comme notre meneur de jeu mais qu’il avait aussi la possibilité d’être sélectionné dans le groupe France», explique Thierry Anti, son entraîneur. Il ne s'est pas trompé.
Car cette sélection en Equipe de France est amplement méritée. Tant l'ex joueur de Joinville et de Lasours Handball a été étincelant depuis le début de cette année, rééditant les très belles performances à la chaîne tout cela en l'espace d'un mois: Cesson à deux reprises, Montpellier -ni plus ni moins que le leader du championnat- Nîmes. Tous battus!
Alors, qu'il soit retenu dans ce groupe de 21 n'étonne guère les spécialistes. «Je remercie mes coéquipiers et le staff technique de Nantes, cette sélection je la dois à ce qu'ils m'ont apporté» a-t-il confié, ému. Et Niko de poursuivre: «En Equipe de France, je vais d'ailleurs retrouver mon pote Kévynn Nyokas avec qui j’ai commencé à jouer au haut niveau au sein du PSG».
Pour peu, il en oublierait presque ses anciens coéquipiers parisiens, Luc Abalo, Cédric Sorhaindo, avec qui se sont nouées des relations d'amitié, Samuel Honrubia, Didier Dinart et, bien sûr, le kréol cador des Bleus dit le "King": Daniel Narcisse!
Mais avant l'Equipe de France, le Dionysien a dans le viseur un rendez-vous: celui de la finale de la Coupe de France, programmé le dimanche 26 avril, face au PSG, son ancien club...
Si l'exploit est au rendez-vous, l'arrivée dès le lendemain au rendez-vous des Bleus -où figurent 6 Parisiens-, sera bien plus aisée et presque joyeuse pour lui.
Cela étant, restons les pieds sur terre: battre Paris et ses stars dans leur salle parisienne de Coubertin, ne relève pas d'une sinécure...
Emmanuel Thomas
> + d'infos sur https://www.facebook.com/50ansdelasource
> L'équipe de France disputera 2 matches dans un tournoi, face à la Macédoine, le 29 avril à Skopje et le 3 mai à Toulouse