Le ministre de la Sécurité du Honduras remplacé dans la nuit
Xiomara Castro, la présidente du Honduras, a exprimé son indignation face à cet "assassinat monstrueux" sur Twitter, dénonçant les "maras" - La Maras Salvatrucha est un gang criminel d'ordre international qui sèment la terreur dans ce pays (dont il est originaire, NDLR). En réponse à cette tragédie, Castro a révoqué le ministre de la Sécurité en plein milieu de la nuit, le remplaçant par le général Gustavo Sanchez, ancien directeur de la police nationale rapporte BFMTV.
Le porte-parole du parquet, Yuri Mora, a précisé que la plupart des victimes ont péri brûlées vives, tandis que d'autres ont été tuées par balles. Une enquête est en cours pour identifier la bande responsable de l'attaque. Des témoignages suggèrent que l'agression a été perpétrée par des membres du gang rival Barrio 18 contre le gang de la Mara Salvatrucha.
L'incendie a entièrement ravagé une partie de la prison de Tamara, où sont détenues environ 900 femmes. À proximité de la prison, des centaines de membres de familles désespérées ont tenté d'obtenir des informations sur leurs proches.
Malgré l'intervention rapide des pompiers, des policiers et des militaires, la vice-ministre de l'Intérieur, Julissa Villanueva, a notifié via Twitter, la situation reste désespérée. Le Honduras est un pays rongé par la corruption, la violence des "maras" et la criminalité organisée, avec un taux d'homicides quatre fois supérieur à la moyenne mondiale.
En dépit de tentatives de contrôle, les leaders des bandes criminelles en détention continuent d'ordonner des crimes depuis leurs cellules, exacerbant la violence et la pauvreté qui poussent des milliers de Honduriens à chercher refuge aux États-Unis.
Ces événements rappellent les accusations de trafic de drogue portées contre l'ancien président hondurien Juan Orlando Hernandez et d'autres personnalités de haut rang. La présidente actuelle, Xiomara Castro, a promis de lutter contre la criminalité organisée, y compris par des arrestations sans mandat judiciaire.
Pendant longtemps le gang de la Mara Salvatrucha (ou MS-13) était considéré comme l'un des plus prolifiques du monde avec plusieurs dizaines de milliers de membres actifs principalement en Amérique du Sud et en Amérique du Nord. Ce triste record est aujourd'hui disputé par la Cartel Mexicain du Sinaloa s'associant à d'autres organisations criminelles internationales.
Le porte-parole du parquet, Yuri Mora, a précisé que la plupart des victimes ont péri brûlées vives, tandis que d'autres ont été tuées par balles. Une enquête est en cours pour identifier la bande responsable de l'attaque. Des témoignages suggèrent que l'agression a été perpétrée par des membres du gang rival Barrio 18 contre le gang de la Mara Salvatrucha.
L'incendie a entièrement ravagé une partie de la prison de Tamara, où sont détenues environ 900 femmes. À proximité de la prison, des centaines de membres de familles désespérées ont tenté d'obtenir des informations sur leurs proches.
Malgré l'intervention rapide des pompiers, des policiers et des militaires, la vice-ministre de l'Intérieur, Julissa Villanueva, a notifié via Twitter, la situation reste désespérée. Le Honduras est un pays rongé par la corruption, la violence des "maras" et la criminalité organisée, avec un taux d'homicides quatre fois supérieur à la moyenne mondiale.
En dépit de tentatives de contrôle, les leaders des bandes criminelles en détention continuent d'ordonner des crimes depuis leurs cellules, exacerbant la violence et la pauvreté qui poussent des milliers de Honduriens à chercher refuge aux États-Unis.
Ces événements rappellent les accusations de trafic de drogue portées contre l'ancien président hondurien Juan Orlando Hernandez et d'autres personnalités de haut rang. La présidente actuelle, Xiomara Castro, a promis de lutter contre la criminalité organisée, y compris par des arrestations sans mandat judiciaire.
Pendant longtemps le gang de la Mara Salvatrucha (ou MS-13) était considéré comme l'un des plus prolifiques du monde avec plusieurs dizaines de milliers de membres actifs principalement en Amérique du Sud et en Amérique du Nord. Ce triste record est aujourd'hui disputé par la Cartel Mexicain du Sinaloa s'associant à d'autres organisations criminelles internationales.
