L'objectif : aider certaines personnes handicapées à utiliser les ordinateurs et la technologie mobile
Elle affirme ne pas avoir immédiatement prévu de recruter des participants. Les tentatives précédentes d'Elon Musk de commencer les tests n'ont pas encore abouti.
Selon un rapport de l'agence Reuters datant de mars, qui citait plusieurs employés actuels et anciens, une tentative antérieure de Neuralink d'obtenir l'approbation de la FDA ("Food and Drug Administration" aux Etats-Unis, l'agence gouvernementale américaine en charge de la régulation de la nourriture et des médicaments, NDLR) avait été rejetée pour des raisons de sécurité.
Neuralink espère utiliser ses micropuces pour traiter des conditions telles que la paralysie et la cécité, ainsi que pour aider certaines personnes handicapées à utiliser les ordinateurs et la technologie mobile précise la BBC.
Les puces, qui ont été testées sur des singes, sont conçues pour interpréter les signaux produits par le cerveau et transmettre des informations aux appareils via Bluetooth.
Elon Musk a également suggéré précédemment que la technologie proposée pourrait aider à atténuer les préoccupations concernant le remplacement des humains par l'IA. Annonçant la nouvelle de jeudi sur Twitter, Neuralink a parlé d'une "première étape importante qui permettra un jour à notre technologie d'aider de nombreuses personnes".
L'approbation est "le résultat d'un travail incroyable de l'équipe de Neuralink en étroite collaboration avec la FDA", a-t-il déclaré. La société a promis de fournir bientôt plus d'informations sur les plans visant à recruter des participants aux essais.
Son site web promet que "la sécurité, l'accessibilité et la fiabilité" sont toutes des priorités lors du processus d'ingénierie. Les experts ont mis en garde contre le fait que les implants cérébraux de Neuralink nécessiteront des tests approfondis pour surmonter les défis techniques et éthiques s'ils doivent être largement disponibles.
L'entreprise, cofondée par M. Musk en 2016, a régulièrement surestimé la vitesse à laquelle elle peut réaliser ses plans. Son objectif initial était de commencer à implanter des puces dans les cerveaux humains en 2020, afin de tenir une promesse faite l'année précédente. Elle a ensuite promis de commencer en 2022.
L'entreprise a subi un autre revers en décembre de l'année dernière, après avoir été soupçonnée de violations du bien-être animal dans son travail. Elle avait précédemment nié de telles accusations.
Son annonce sur l'approbation de la FDA pour les tests humains fait suite à une nouvelle similaire impliquant des implants cérébraux par des chercheurs suisses. Un homme paralysé des Pays-Bas a pu marcher simplement en y pensant, grâce à un système d'implants qui transmettent sans fil ses pensées à ses jambes.
Selon un rapport de l'agence Reuters datant de mars, qui citait plusieurs employés actuels et anciens, une tentative antérieure de Neuralink d'obtenir l'approbation de la FDA ("Food and Drug Administration" aux Etats-Unis, l'agence gouvernementale américaine en charge de la régulation de la nourriture et des médicaments, NDLR) avait été rejetée pour des raisons de sécurité.
Neuralink espère utiliser ses micropuces pour traiter des conditions telles que la paralysie et la cécité, ainsi que pour aider certaines personnes handicapées à utiliser les ordinateurs et la technologie mobile précise la BBC.
Les puces, qui ont été testées sur des singes, sont conçues pour interpréter les signaux produits par le cerveau et transmettre des informations aux appareils via Bluetooth.
Elon Musk a également suggéré précédemment que la technologie proposée pourrait aider à atténuer les préoccupations concernant le remplacement des humains par l'IA. Annonçant la nouvelle de jeudi sur Twitter, Neuralink a parlé d'une "première étape importante qui permettra un jour à notre technologie d'aider de nombreuses personnes".
L'approbation est "le résultat d'un travail incroyable de l'équipe de Neuralink en étroite collaboration avec la FDA", a-t-il déclaré. La société a promis de fournir bientôt plus d'informations sur les plans visant à recruter des participants aux essais.
Son site web promet que "la sécurité, l'accessibilité et la fiabilité" sont toutes des priorités lors du processus d'ingénierie. Les experts ont mis en garde contre le fait que les implants cérébraux de Neuralink nécessiteront des tests approfondis pour surmonter les défis techniques et éthiques s'ils doivent être largement disponibles.
L'entreprise, cofondée par M. Musk en 2016, a régulièrement surestimé la vitesse à laquelle elle peut réaliser ses plans. Son objectif initial était de commencer à implanter des puces dans les cerveaux humains en 2020, afin de tenir une promesse faite l'année précédente. Elle a ensuite promis de commencer en 2022.
L'entreprise a subi un autre revers en décembre de l'année dernière, après avoir été soupçonnée de violations du bien-être animal dans son travail. Elle avait précédemment nié de telles accusations.
Son annonce sur l'approbation de la FDA pour les tests humains fait suite à une nouvelle similaire impliquant des implants cérébraux par des chercheurs suisses. Un homme paralysé des Pays-Bas a pu marcher simplement en y pensant, grâce à un système d'implants qui transmettent sans fil ses pensées à ses jambes.
