Une mise en demeure pour avoir éconduit un homme
Après avoir déposé une plainte pour harcèlement, l'homme sera à son tour jugé dans les prochains jours. Une information TDN.
En 2016, les deux protagonistes se rencontrent et deviennent amis jusqu'en 2020. L'homme, directeur d'une entreprise de drones et la femme, gestionnaire en développement durable, entretiennent une relation purement amicale. Mais, en 2020, les choses ont changé.
La femme a indiqué à l'homme qu'elle ne souhaitait pas poursuivre leur relation, ce qui a entraîné une réponse violente de l'homme éconduit. Deux jours après leur discussion, elle reçoit une mise en demeure de l'homme la menaçant de poursuites judiciaires pour dommages pécuniaires résultant de l'infliction par négligence d'une détresse émotionnelle et d'une éventuelle diffamation.
La femme a accepté de participer à des séances de conseil pour aider l'homme à comprendre son choix de ne pas poursuivre une relation amoureuse. Mais, en avril 2022, elle a pris la décision de ne plus participer à ces séances et a déposé une plainte pour harcèlement.
L'homme a ensuite déposé une seconde plainte en juillet 2022 pour un manque à gagner sur ses revenus et ses partenariats sociaux ainsi que pour les frais engendrés par les séances de conciliation.
En janvier 2023, le tribunal a rejeté une autre plainte de l'homme qui tentait d'obtenir 22 000 dollars de la gestionnaire "pour avoir prétendument violé un accord visant à améliorer leur relation".
La jeune femme a également pris les devants pour attaquer l'homme en justice. Elle réclame aujourd'hui à l'homme près de 1 000 euros pour rembourser l'installation de dispositifs de sécurité à son domicile.
En 2016, les deux protagonistes se rencontrent et deviennent amis jusqu'en 2020. L'homme, directeur d'une entreprise de drones et la femme, gestionnaire en développement durable, entretiennent une relation purement amicale. Mais, en 2020, les choses ont changé.
La femme a indiqué à l'homme qu'elle ne souhaitait pas poursuivre leur relation, ce qui a entraîné une réponse violente de l'homme éconduit. Deux jours après leur discussion, elle reçoit une mise en demeure de l'homme la menaçant de poursuites judiciaires pour dommages pécuniaires résultant de l'infliction par négligence d'une détresse émotionnelle et d'une éventuelle diffamation.
La femme a accepté de participer à des séances de conseil pour aider l'homme à comprendre son choix de ne pas poursuivre une relation amoureuse. Mais, en avril 2022, elle a pris la décision de ne plus participer à ces séances et a déposé une plainte pour harcèlement.
L'homme a ensuite déposé une seconde plainte en juillet 2022 pour un manque à gagner sur ses revenus et ses partenariats sociaux ainsi que pour les frais engendrés par les séances de conciliation.
En janvier 2023, le tribunal a rejeté une autre plainte de l'homme qui tentait d'obtenir 22 000 dollars de la gestionnaire "pour avoir prétendument violé un accord visant à améliorer leur relation".
La jeune femme a également pris les devants pour attaquer l'homme en justice. Elle réclame aujourd'hui à l'homme près de 1 000 euros pour rembourser l'installation de dispositifs de sécurité à son domicile.