Les personnes vivaient dans la peur à cause de son mensonge
Elle a été recherchée dans plusieurs états pendant trois semaines avant de revenir le jour de ‘Thanksgiving’ en 2016. Elle devra payer comme compensation, suite à une négociation, une amende de 300 000 $ (environ 294 000 €) pour avoir organisé son propre enlèvement et avoir menti au FBI.
William Shubb, le juge de district principal américain, l’a condamnée à une peine de 18 mois afin de dissuader d'autres personnes qui auraient l’idée farfelue de commettre la même offense. L’avocate de l’accusé, ainsi que les agents de probation, ont demandé à ce que Papini passe un mois en détention et 7 mois en liberté surveillée à domicile. Les procureurs voulaient qu’elle purge sa peine derrière les barreaux. Le juge a ordonné qu'elle purge une peine de 36 mois de surveillance après sa libération.
Le juge Shubb a déclaré qu’il avait pris en compte “ la gravité du nombre de personnes touchées ”, notamment les forces de l’ordre qui se sont mobilisées pour la rechercher, toute la communauté qui l’a crue, les personnes qui vivaient dans la peur à cause de son mensonge ainsi que la communauté latino qui a été faussement et indûment suspectée par cette histoire de faux enlèvement par deux femmes hispaniques.
L’accusée a fait une déclaration au tribunal acceptant sa responsabilité et admettant sa culpabilité. Cependant, elle n’a fait aucune déclaration à la presse après l’audience, car elle était entourée par une douzaine de personnes qui la soutenaient.
Les deux chefs d’accusations étaient passibles d’une peine maximale de 25 ans d’emprisonnement.
William Shubb, le juge de district principal américain, l’a condamnée à une peine de 18 mois afin de dissuader d'autres personnes qui auraient l’idée farfelue de commettre la même offense. L’avocate de l’accusé, ainsi que les agents de probation, ont demandé à ce que Papini passe un mois en détention et 7 mois en liberté surveillée à domicile. Les procureurs voulaient qu’elle purge sa peine derrière les barreaux. Le juge a ordonné qu'elle purge une peine de 36 mois de surveillance après sa libération.
Le juge Shubb a déclaré qu’il avait pris en compte “ la gravité du nombre de personnes touchées ”, notamment les forces de l’ordre qui se sont mobilisées pour la rechercher, toute la communauté qui l’a crue, les personnes qui vivaient dans la peur à cause de son mensonge ainsi que la communauté latino qui a été faussement et indûment suspectée par cette histoire de faux enlèvement par deux femmes hispaniques.
L’accusée a fait une déclaration au tribunal acceptant sa responsabilité et admettant sa culpabilité. Cependant, elle n’a fait aucune déclaration à la presse après l’audience, car elle était entourée par une douzaine de personnes qui la soutenaient.
Les deux chefs d’accusations étaient passibles d’une peine maximale de 25 ans d’emprisonnement.
