Philippe Dubois était condamné à 28 ans de réclusion
Image par Falkenpost de Pixabay
L'évasion de la prison de Mauzac, en Dordogne, a fait couler beaucoup d'encre ces dernières heures. En effet, un condamné à 28 ans de réclusion pour séquestration et assassinat s'est échappé lundi 13 mars en début d'après-midi, comme l'ont rapporté les médias locaux, France Bleu Périgord et Sud-Ouest.
L'affaire de "disparus de Gairaut" avait conduit Philippe Dubois derrière les barreaux en 2002. Il avait été condamné à perpétuité, puis à 28 ans de réclusion en appel pour l'assassinat de la propriétaire de la maison qu'il louait, ainsi que de son fils à Nice. Les corps des victimes avaient été retrouvés un an plus tard. L'homme avait nié les faits, mais n'avait pas réussi à convaincre les jurés. Il avait notamment été défendu par Éric Dupond-Moretti, aujourd'hui garde des Sceaux.
L'évasion de Philippe Dubois a été rendue possible grâce au caractère semi-ouvert de la prison de Mauzac, où les détenus en fin de peine purgent leur détention. Il semblerait également que l'évadé avait déjà tenté de s'échapper par le passé. Le parquet de Bergerac a annoncé qu'une enquête était en cours et que tout était mis en œuvre pour retrouver l'ancien éboueur.
Selon les dernières informations du Parisien, l'escapade du prisonnier aura été de courte durée. Moins de 2 jours après son évasion, ce dernier a été retrouvé à Nice ce matin. Le fugitif, confondu par des témoins, se trouvait aux alentours du domicile de son père.
L'affaire de "disparus de Gairaut" avait conduit Philippe Dubois derrière les barreaux en 2002. Il avait été condamné à perpétuité, puis à 28 ans de réclusion en appel pour l'assassinat de la propriétaire de la maison qu'il louait, ainsi que de son fils à Nice. Les corps des victimes avaient été retrouvés un an plus tard. L'homme avait nié les faits, mais n'avait pas réussi à convaincre les jurés. Il avait notamment été défendu par Éric Dupond-Moretti, aujourd'hui garde des Sceaux.
L'évasion de Philippe Dubois a été rendue possible grâce au caractère semi-ouvert de la prison de Mauzac, où les détenus en fin de peine purgent leur détention. Il semblerait également que l'évadé avait déjà tenté de s'échapper par le passé. Le parquet de Bergerac a annoncé qu'une enquête était en cours et que tout était mis en œuvre pour retrouver l'ancien éboueur.
Selon les dernières informations du Parisien, l'escapade du prisonnier aura été de courte durée. Moins de 2 jours après son évasion, ce dernier a été retrouvé à Nice ce matin. Le fugitif, confondu par des témoins, se trouvait aux alentours du domicile de son père.
