Des mots agressifs et injurieux envers les officiers de police
Les faits se sont déroulés en Seine et Marne. Selon le journal local La Marne via Le Parisien, l'homme a appelé le commissariat aux alentours de 3 heures du matin, tenant des propos incohérents. La police, déjà alertée par les voisins concernant l'incident avec le chien, s'est rendue sur les lieux.
Les témoignages des voisins s'accordaient avec la confession de l'homme, qui a finalement admis avoir jeté son chien de la fenêtre. Malheureusement, l'animal, un Yorkshire de 10 ans, souffrait de blessures graves et a dû être pris en charge par une association.
Malgré la gravité de la situation, l'homme s'est montré hostile, utilisant des mots agressifs et injurieux envers les officiers. L'état manifeste d'ébriété de l'homme, avec un taux d'alcoolémie de 1,2 g/L, a justifié son placement en cellule de dégrisement.
Interrogé le jour suivant, l'homme a expliqué que l'acte brutal était une réaction à une morsure de l'animal. Regrettant profondément son geste, il a reconnu que l'alcool avait altéré son jugement. Tragiquement, malgré les efforts des vétérinaires, le chien n'a pas survécu à ses blessures.
La Marne note que deux autres Yorkshires ont été trouvés à son domicile. Heureusement, ils ont été confiés à une association pour assurer leur bien-être.
En Février, un fait-divers similaire "Il défenestre son chien : 8 mois ferme " faisait également réagir.
Les témoignages des voisins s'accordaient avec la confession de l'homme, qui a finalement admis avoir jeté son chien de la fenêtre. Malheureusement, l'animal, un Yorkshire de 10 ans, souffrait de blessures graves et a dû être pris en charge par une association.
Malgré la gravité de la situation, l'homme s'est montré hostile, utilisant des mots agressifs et injurieux envers les officiers. L'état manifeste d'ébriété de l'homme, avec un taux d'alcoolémie de 1,2 g/L, a justifié son placement en cellule de dégrisement.
Interrogé le jour suivant, l'homme a expliqué que l'acte brutal était une réaction à une morsure de l'animal. Regrettant profondément son geste, il a reconnu que l'alcool avait altéré son jugement. Tragiquement, malgré les efforts des vétérinaires, le chien n'a pas survécu à ses blessures.
La Marne note que deux autres Yorkshires ont été trouvés à son domicile. Heureusement, ils ont été confiés à une association pour assurer leur bien-être.
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