Dans un monde en quête perpétuelle de sérénité et de bien-être intérieur, la méditation Vipassana, connue pour ses retraites de silence de dix jours, promet une introspection profonde. Cependant, cette quête de tranquillité a révélé un revers sombre, suite aux tragiques suicides de trois participants nord-américains. Ces événements alarmants ont jeté une ombre sur les pratiques de méditation intensive, poussant les experts à alerter sur les risques mentaux qu'elles peuvent engendrer.
Parmi les victimes, Jaqui McDermott, une jeune Canadienne de 22 ans, aspirante artiste, dont le corps fut découvert non loin d'un centre de retraite, et Megan Vogt, 25 ans, originaire de Pennsylvanie, décrite comme une aventurière au grand cœur, qui a sombré dans une détresse psychologique inquiétante au retour de son voyage spirituel.
Les retraites Vipassana encouragent une méditation silencieuse pendant 11 heures par jour, interdisant tout échange verbal et même le rire, dans le but de trouver une nouvelle voie vers la paix intérieure. Cependant, l'exercice s'est avéré périlleux pour certains, plongeant des participants dans une profonde détresse émotionnelle, voire des états psychotiques.
Ian Thorson, diplômé de Princeton, fut retrouvé mort dans une grotte en Arizona, illustrant un autre cas extrême lié à ces pratiques. Lui et sa femme avaient fui un centre de retraite.
Ces centres de méditation, qui attirent des milliers de participants chaque année, séduits par la promesse de tranquillité et d'éveil spirituel, font face à des critiques croissantes. Des témoignages décrivent ces lieux comme des "prisons volontaires", où le comportement irresponsable des enseignants frôle la faute professionnelle.
Les experts en santé mentale avertissent des dangers de ces thérapies méditatives intensives. Ils soulignent que la méditation, bien que bénéfique pour de nombreuses personnes souffrant d'anxiété, de dépression et d'autres troubles, peut avoir un effet paradoxal chez un petit nombre d'individus vulnérables, exacerbant leur mal-être.
Les récits de Madison Marriage, journaliste ayant enquêté sur ces centres, mettent en lumière les réactions adverses fréquentes, telles que la psychose, les hallucinations, et un état de terreur paralysant. Des participants, convaincus d'être seuls dans leur souffrance, ont partagé leur soulagement en découvrant qu'ils n'étaient pas des cas isolés.
Si vous avez des idées suicidaires, en parler peut tout changer. Appelez gratuitement le 3114, écoute professionnelle et confidentielle.
Vous pouvez également appeler SOS Solitude 974 : 02 62 97 00 00
Pour trouver de l’aide et de l’assistance, appelez le 15 ou le 112 (numéro européen)
Parmi les victimes, Jaqui McDermott, une jeune Canadienne de 22 ans, aspirante artiste, dont le corps fut découvert non loin d'un centre de retraite, et Megan Vogt, 25 ans, originaire de Pennsylvanie, décrite comme une aventurière au grand cœur, qui a sombré dans une détresse psychologique inquiétante au retour de son voyage spirituel.
Les retraites Vipassana encouragent une méditation silencieuse pendant 11 heures par jour, interdisant tout échange verbal et même le rire, dans le but de trouver une nouvelle voie vers la paix intérieure. Cependant, l'exercice s'est avéré périlleux pour certains, plongeant des participants dans une profonde détresse émotionnelle, voire des états psychotiques.
Ian Thorson, diplômé de Princeton, fut retrouvé mort dans une grotte en Arizona, illustrant un autre cas extrême lié à ces pratiques. Lui et sa femme avaient fui un centre de retraite.
Ces centres de méditation, qui attirent des milliers de participants chaque année, séduits par la promesse de tranquillité et d'éveil spirituel, font face à des critiques croissantes. Des témoignages décrivent ces lieux comme des "prisons volontaires", où le comportement irresponsable des enseignants frôle la faute professionnelle.
Les experts en santé mentale avertissent des dangers de ces thérapies méditatives intensives. Ils soulignent que la méditation, bien que bénéfique pour de nombreuses personnes souffrant d'anxiété, de dépression et d'autres troubles, peut avoir un effet paradoxal chez un petit nombre d'individus vulnérables, exacerbant leur mal-être.
Les récits de Madison Marriage, journaliste ayant enquêté sur ces centres, mettent en lumière les réactions adverses fréquentes, telles que la psychose, les hallucinations, et un état de terreur paralysant. Des participants, convaincus d'être seuls dans leur souffrance, ont partagé leur soulagement en découvrant qu'ils n'étaient pas des cas isolés.
Si vous avez des idées suicidaires, en parler peut tout changer. Appelez gratuitement le 3114, écoute professionnelle et confidentielle.
Vous pouvez également appeler SOS Solitude 974 : 02 62 97 00 00
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