Initialement, c’est Audrey Ho-Wen-Tsaï, deuxième de Miss France 2024, qui devait porter les couleurs de la France. Mais faute de candidature de sa part, Agathe Cauet a saisi l’opportunité. "Je ne m’y attendais pas, trois ans après mon élection. Finalement, la société Miss France a validé ma participation", confie-t-elle.
Face à 139 concurrentes venues du monde entier, Agathe se prépare intensément. Elle enchaîne les cours d’anglais, d’éloquence, de gestion des émotions, de maquillage et bien sûr de catwalk, la fameuse démarche de mannequin. "Il y a énormément de préparation, et il ne reste que deux semaines", souligne-t-elle.
Miss Monde, c'est à noter, valorise davantage l’engagement que l’apparence. Une dimension qui parle profondément à Agathe Cauet, elle-même ancienne patiente atteinte d’un cancer. À 17 ans, elle avait dû être opérée d’une tumeur ovarienne de près de 10 centimètres. "Cette épreuve est devenue une force. Elle m’a poussée à devenir infirmière, un métier que j’ai exercé pendant deux ans", raconte-t-elle.
Aujourd’hui, son engagement prend une autre forme. Marraine des associations CéKeDuBonheur et Jeun’espoir, elle œuvre pour améliorer le quotidien des enfants hospitalisés. "Mon combat reste le même : soutenir ceux qui font face à la maladie." Si l’avenir professionnel reste encore ouvert, Agathe n’exclut pas un retour en blouse blanche : "C’est une vocation, un métier humain que j’adore. On verra ce que la vie me réserve."
D’ici là, elle se consacre entièrement à sa préparation pour Miss Monde.
Face à 139 concurrentes venues du monde entier, Agathe se prépare intensément. Elle enchaîne les cours d’anglais, d’éloquence, de gestion des émotions, de maquillage et bien sûr de catwalk, la fameuse démarche de mannequin. "Il y a énormément de préparation, et il ne reste que deux semaines", souligne-t-elle.
Miss Monde, c'est à noter, valorise davantage l’engagement que l’apparence. Une dimension qui parle profondément à Agathe Cauet, elle-même ancienne patiente atteinte d’un cancer. À 17 ans, elle avait dû être opérée d’une tumeur ovarienne de près de 10 centimètres. "Cette épreuve est devenue une force. Elle m’a poussée à devenir infirmière, un métier que j’ai exercé pendant deux ans", raconte-t-elle.
Aujourd’hui, son engagement prend une autre forme. Marraine des associations CéKeDuBonheur et Jeun’espoir, elle œuvre pour améliorer le quotidien des enfants hospitalisés. "Mon combat reste le même : soutenir ceux qui font face à la maladie." Si l’avenir professionnel reste encore ouvert, Agathe n’exclut pas un retour en blouse blanche : "C’est une vocation, un métier humain que j’adore. On verra ce que la vie me réserve."
D’ici là, elle se consacre entièrement à sa préparation pour Miss Monde.